Je me suis dite, (mais peut être ai je mal fouillé ce forum) qu'il n'y avait pas de post a écritures, alors je pensais vous faire partager quelques vers (oui quelques verres me gêneraient pas non plus)
Ceci est une chanson :
Le Carnaval des Âmes
Adam et Eve cheminaient nus au milieu du jardin d’Eden
N’ayant pour habit que vertu, corps et cœurs, âmes pures et sereines.
L’on fit de la pomme le fléau qui vint souiller leurs saines consciences,
Mais c’est la feuille en tout premier, qui changea toute leur existence.
Les vêtements sont les oripeaux qui masquent l’ultime rempart,
Comme le port d’une seconde peau, camouflage servant l’illusoire,
Témoignant d’un geste, d’un symbole, d’une idée neuve ou d’un mouvement
Qui d’une identité unique, forme le troupeau, fidèle suivant.
Si l’habit ne fait pas le moine, il lui permettra tout du moins,
Par le seul port de la soutane, de se faire passer pour chrétien.
Au plus sombre de tous les profanes on ouvre les portes du monastère,
Car l’apparence ne se condamne qu’une fois soumise à la lumière.
Au cœur de la folle mascarade,
Tout n’est qu’images et mirages,
Tantôt joyeux, tantôt maussade,
On se façonne un personnage.
Dans le grand bal des sociétés
Flottent des visages de poupées,
Acteurs aux traits d’hommes, et de femmes,
Bienvenue au carnaval des âmes.
Que de fantômes, que d’âmes errantes, cherchant à boire à l’existence,
En répondant à des attentes qui leurs donneraient une contenance,
A appartenir à un monde dont ils n’ont vu que le portail,
A s’approprier une victoire dont ils n’ont pas fait la bataille.
Qu’ils sont tristes ces pantins de chair, ces gens qui s’usent dans un paraître,
Prêts à tout être et à tout faire, mais incapable de se connaître…
A se fondre ou se démarquer par les plus habiles stratagèmes,
Sans comprendre et réaliser, qu’ils ne s’éloignent que d’eux même…
Certains se tordent jusqu’à l’esprit, pour la gloire d’une image volée
A leurs idoles ou leurs amis, et s’en faire une identité.
Il ne suffit pas d’un chiffon pour pouvoir se voiler la face,
A trop se bercer d’illusions, ce que l’on est un jour s’efface.
Au cœur de la folle mascarade,
Tout n’est qu’images et mirages,
Tantôt joyeux, tantôt maussade,
On se façonne un personnage.
Dans le grand bal des sociétés
Flottent des visages de poupées,
Acteurs aux traits d’hommes, et de femmes,
Bienvenue au carnaval des âmes.
La suite plus tard si cela vous intéresse
Ceci est une chanson :
Le Carnaval des Âmes
Adam et Eve cheminaient nus au milieu du jardin d’Eden
N’ayant pour habit que vertu, corps et cœurs, âmes pures et sereines.
L’on fit de la pomme le fléau qui vint souiller leurs saines consciences,
Mais c’est la feuille en tout premier, qui changea toute leur existence.
Les vêtements sont les oripeaux qui masquent l’ultime rempart,
Comme le port d’une seconde peau, camouflage servant l’illusoire,
Témoignant d’un geste, d’un symbole, d’une idée neuve ou d’un mouvement
Qui d’une identité unique, forme le troupeau, fidèle suivant.
Si l’habit ne fait pas le moine, il lui permettra tout du moins,
Par le seul port de la soutane, de se faire passer pour chrétien.
Au plus sombre de tous les profanes on ouvre les portes du monastère,
Car l’apparence ne se condamne qu’une fois soumise à la lumière.
Au cœur de la folle mascarade,
Tout n’est qu’images et mirages,
Tantôt joyeux, tantôt maussade,
On se façonne un personnage.
Dans le grand bal des sociétés
Flottent des visages de poupées,
Acteurs aux traits d’hommes, et de femmes,
Bienvenue au carnaval des âmes.
Que de fantômes, que d’âmes errantes, cherchant à boire à l’existence,
En répondant à des attentes qui leurs donneraient une contenance,
A appartenir à un monde dont ils n’ont vu que le portail,
A s’approprier une victoire dont ils n’ont pas fait la bataille.
Qu’ils sont tristes ces pantins de chair, ces gens qui s’usent dans un paraître,
Prêts à tout être et à tout faire, mais incapable de se connaître…
A se fondre ou se démarquer par les plus habiles stratagèmes,
Sans comprendre et réaliser, qu’ils ne s’éloignent que d’eux même…
Certains se tordent jusqu’à l’esprit, pour la gloire d’une image volée
A leurs idoles ou leurs amis, et s’en faire une identité.
Il ne suffit pas d’un chiffon pour pouvoir se voiler la face,
A trop se bercer d’illusions, ce que l’on est un jour s’efface.
Au cœur de la folle mascarade,
Tout n’est qu’images et mirages,
Tantôt joyeux, tantôt maussade,
On se façonne un personnage.
Dans le grand bal des sociétés
Flottent des visages de poupées,
Acteurs aux traits d’hommes, et de femmes,
Bienvenue au carnaval des âmes.
La suite plus tard si cela vous intéresse