Poème Nain sur la forêt.
Nous les Nains sommes connus pour vivre dans les montagnes dont nous creusons les entrailles en des dédales de galeries infinies.
La forêt fait peu partie de notre patrimoine culturel il est vrai et notre imaginaire la trouve rarement pour muse tant il se tourne fréquemment vers les thèmes de la valeur au combat ou le courage au travail.
Cependant nier notre amour de la poésie et notre attirance de la Forêt serait bien mal connaître notre culture où elle a une place discrète mais certaine.
Afin que vous en jugiez, et pour vous faire partager l'amour quelle nous inspire, je vais vous faire la lecture d'un poème Nain traditionnel à son sujet :
Ecrite par la Terre,
Les saisons contant ta beauté,
Tu es mère de mystère,
Quand sous ta dense canopée,
Se terre L'imaginaire,
Où se côtoient Lutins et Fées.
Décrite par les poètes,
Tel un paradis quiet,
Tu reçois Druides anachorètes,
Ou bien marcheurs émerveillés,
Loges fantômes et autres êtres,
Quand dans la nuit tu es hantée.
Citées par tes amants,
Comme la terre nourricière,
De milliers d'êtres différents,
Tu es un lieu dont rien n'altère,
La capacité à voir grand,
Quand il s'agit d'être une mère.
Détruite par l'être Humain,
Ô toi poumon du Monde,
Ta terre porte le chagrin,
De n'être plus autant féconde,
Tu n'espère plus de lendemain,
Car les saisons t'abandonnent.
J'espère vous avoir fait plaisir tout en vous ayant convaincu,
Grandebaffe.
Nous les Nains sommes connus pour vivre dans les montagnes dont nous creusons les entrailles en des dédales de galeries infinies.
La forêt fait peu partie de notre patrimoine culturel il est vrai et notre imaginaire la trouve rarement pour muse tant il se tourne fréquemment vers les thèmes de la valeur au combat ou le courage au travail.
Cependant nier notre amour de la poésie et notre attirance de la Forêt serait bien mal connaître notre culture où elle a une place discrète mais certaine.
Afin que vous en jugiez, et pour vous faire partager l'amour quelle nous inspire, je vais vous faire la lecture d'un poème Nain traditionnel à son sujet :
Ecrite par la Terre,
Les saisons contant ta beauté,
Tu es mère de mystère,
Quand sous ta dense canopée,
Se terre L'imaginaire,
Où se côtoient Lutins et Fées.
Décrite par les poètes,
Tel un paradis quiet,
Tu reçois Druides anachorètes,
Ou bien marcheurs émerveillés,
Loges fantômes et autres êtres,
Quand dans la nuit tu es hantée.
Citées par tes amants,
Comme la terre nourricière,
De milliers d'êtres différents,
Tu es un lieu dont rien n'altère,
La capacité à voir grand,
Quand il s'agit d'être une mère.
Détruite par l'être Humain,
Ô toi poumon du Monde,
Ta terre porte le chagrin,
De n'être plus autant féconde,
Tu n'espère plus de lendemain,
Car les saisons t'abandonnent.
J'espère vous avoir fait plaisir tout en vous ayant convaincu,
Grandebaffe.